Pratique érotisée du deux-roues motorisé en tirant intimement parti des trépidations employées à cet usage.
Long va-et-vient de l'ouvrier transistorisé sur sa lisse moisée appendu l'entrefesse offert à la caresse du vigoureux métal que la salopète enserre intimement tandis que le mouvement du bras opère un finale à la règle sur la corniche alvéolisée l'autre main à l'écoperche maintenue très précisément au-dessus du nœud.
Passage en pétarade d'un motocycle anglosaxe dézippant intégralement la rue ainsi appropriée tandis que son geste s'affirme : tansad brrrrrrooouuuummm motocyclitorisme piaffe à coups de piston monocylindrique quatre temps si bielle chahutant à couine ressorts sur la poupe enveloppée vibre et tremble ainsi conçu du coccyx au bréchet qu'il s'érecte et s'agite soudain.
Coui coui dit le cul posé vrac dont la forme s'alourde aux penchées de la selle où les deux mains osées s'aventurent soudain.
« Où vous ai-je touché ? » déclare-t-elle prudemment casque bas comme pour voiler quoique incomplètement une gêne obscurément précieuse.
Et devant tant de silence accumulé : « Qu'à cela ne tienne je ne vous lâcherai plus que vous n'ayez achevé votre ouvrage »...
Du tranchant de la truelle il se redresse enfin les mains innocentes et pleines : il a sur le visage la beauté de ceux qu'une tâche admirable distingue du vulgaire.
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