Photo Pascal Juif
Tournant à l’orage pour le plus grand plaisir. → NUEIGEUX. ● Avec l'infinie volupté des sentiments coupables délivrés pour un temps de tout remords dont le caractère inéluctable nourrit en permanence l'intensité de la jouissance.
Tandis que l'horizon plein de feintes froideurs
Crache comme un volcan ses sanglantes ardeurs,
J'ai peine à contenir ce que mon cœur réprouve.
Nul ne s'y tromperait : l'air est doux comme un sein
Délicélestement lourd, palpable, malsain,
Et l'odeur de la nuit avance à pas de louve.
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