D’une banalité incessamment ressassée.
Je préfère à l’écrit la nature des choses,
L’odeur des draps qu’on sniffe avant de se coucher,
Aux mots dits l’océan du silence des roses,
Au bonheur récourant leur épine au toucher ;
Et dans la mort prochaine ouverte aux nuits sans lune,
Alors j’endormirai les peines, les espoirs,
Tout le sang refroidi d’une ivresse commune
Vainement récourante aux avides miroirs.
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