Griffonner avec surabondance de liquide empreignant.
Encrire ce n’est pas forcément écrire comme une patate, mais avoir de grosses papattes à dessein de laisser grassement trace. Cela oblige à ralentir le mouvement au risque sinon de rendre ladite trace indescriptible et de laisser traîner l’incomprégnation d’un plein limassivement flou. C’est vouloir prolonger un instant qui n’en finisse plus de sécher pour contempler des mots tout frétillants de sève avant qu’ils ne s’échappent explétivement par le papier. C’est perdre le temps nécessaire à ne rien faire d’autre pour gagner une part incertaine de ce qui nous échappe sans cesse en la mettant en relief.
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