Vivre dans l’angoisse terrorisante de l’avenir.
Se dire incessamment qu’on existe pour être
Et prolonger de jour ce rêve en trompe-l’œil,
Sans mot dire, vautré dans un très vieux fauteuil
À regarder le temps passer par la fenêtre.
Et puis se réveiller et vouloir disparaître
À peurdurer bientôt dans la peine et le deuil ;
Et dans le rêve mort, impalpable cercueil,
L’on s'allonge vivant en rêvant de renaître.
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