Relatif à la confusion ébrieuse régressive.
Merciel qui ne ressemble à rien ;
Magmarne qui s'idéiforme…
Limbriaque par temps de chien,
Cervocéan phénoménorme.
Celle qui est trop gaie |
Grand ange qui portez sur votre fier visageLa noirceur de l'Enfer d'où vous êtes monté ;Dompteur féroce et doux qui m'avez mis en cagePour servir de spectacle à votre cruauté ;
Cauchemar de mes nuits, Sirène sans corsageQui me tirez toujours debout à mon côté,Par ma robe de saint ou ma barbe de sage,Pour m'offrir le poison d'un amour effronté ;
Vous par qui je deviens ce que je ne veux êtreEt me connaissez mieux que je puis me connaître,Qui dois-je fuir en vous, ou de vous ou de moi ?
— Allons ! puisque après tout ce feu qui me taraudeMe donne à résister pour éprouver ma foiTout en satisfaisant le cher ange qui rôde !