Récital poético-pathétique.
c'est quand on a envie de frapper qu'on écrit le mieux.
ce con, il pèse de tout son poids dans les mots. micro merdique et sono crachotante donnent la sensation de salade un peu destroy et d'impro qu'on aimerait plus souvent. poésie dès lors que ça échappe à toute organisation. ce côté crade qui rend plus abrupt l'impact des phrases, L’ IMPACTE DE DIRE.
et puis soudain, ambiance de slamentation comme un gros coup de barre. slamento poco a poco morendo là où on attendait que ça dégueule de tripes. ce travers qu'ont certains à dessoûler trop vite, comme s'ils avaient peur tout à coup.
moi je n'ai jamais eu peur, et c'est mon inconscience qui m'a permis d'avancer, même si malgré moi je me retrouve à écrire ça d'une main tremblante pour éviter les fautes de frappe.