Point neutre indéfinissable quoique avéré d’équilibre médian d’une perturbation ondulatoire erratique.
Penser c’est déconstruire, instabiliser jusqu’à retrouver naturellement un certain niveau d’équilibre donnant à son tour à penser. Penser c’est déconstruire qui donne à déconstruire, amplitude oscillaléatoire dont l’horizéron indéfignole tout un débordélire embarrassé d’esprit entêté à en cerner la nature sans jamais y parvenir.
Ainsi, penser n’est que l’écho transparent d’un mouvement perpétuel, désaveu définitif de toute constance, fantenasme d’immobilisme par quoi se construit toute chose, et par quoi Dieu s’invente alors dans la tête de ceux qui pensent en le croyant faire pour ériger vers un ciel devenu illusoire de fixité les flèches cap-canavédrales de toutes les certitudes obligées parce que nécessaires à l’éphémère pérennité d’un monde borné bâti brique après brique dans un grand mensonge d’œuvre achevé et sans lequel, sans doute, penser eût été impossible.
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